La vente directe comme supplément de revenu
Coucou! Me voici de retour après plusieurs semaines d’absence et un été qui fût plus éreintant que reposant! Heureusement que nous avons bénéficié de cette merveilleuse semaine de vacances au printemps car depuis, ça roule nos affaires! Nous nous sommes impliqués dans divers projets et on compte dépoussiérer un ancien side-line…
Est-ce que Amway, Avon ou Tupperware vous disent quelque chose? Si non, sur quelle planète vivez vous? Je rigole! Ces compagnies sont parmi les plus anciennes compagnies de vente directe au monde. La Presse leur a d’ailleurs dernièrement consacré un article. Ce que ces compagnies ont en commun est simple: elles fonctionnent par le biais du marketing direct de réseau. Et pourquoi, des dizaines d’années plus tard, ces compagnie sont elles toujours aussi florissantes?
C’est simple: parce que c’est payant de faire partie de leur effectif de vente. Ça peut même être TRÈS payant. Par contre, comme pour n’importe quelle entreprise, on n’y réussit pas sans efforts; les résultats dépendent essentiellement des efforts et des capacités des membres de l’effectif de vente.
La commission de départ est souvent alléchante, de l’ordre de 25% chez Tupperware et Partylite. Par contre, si comme chez Avon vous vendez principalement des items dont le prix moyen est de 10€, il vous faudra beaucoup plus de ventes pour atteindre le même niveau de revenus que pour une compagnie dont le prix moyen du produit est plus élevé.
Vous n’avez besoin de détenir aucun diplôme particulier pour entrer dans l’effectif de ventes d’une de ces compagnies, il suffit de savoir lire, écrire, compter et parler! Tupperware se démarque particulièrement avec sa formule de partys où l’hôtesse est récompensée pour avoir prêté sa maison et accueilli sa famille, ses amis et collègues dans une ambiance détendue autour d’un repas léger.
Partylite utilise également la formule des partys et récompense aussi ses hôtesses, d’une manière semblable à Tupperware (mais en chandelles et non en plats!). Ily a également la compagnie Fantasia qui utilise le party chez un hôte comme fonctionnement mais qui elle ne vend ni plats, ni chandelles ou suppléments alimentaires… mais plutôt des produits réservés aux adultes (!) Son fonctionnement diffère également au sens où vous devez prendre une assurance pour couvrir les produits qui vous sont prêtés et les standards minimums de vente pour conserver votre affaire sont élevés. Donc, votre trousse ne vous appartient pas et la réussite dans cette dernière compagnie demande beaucoup plus d’efforts comparativement aux autres.
D’un point de vue personnel, ce que je trouve attirant dans ce type de source de revenu alternatif, c’est que contrairement à un emploi au salaire minimum dans un commerce, la personne demeure libre de son horaire et est rémunérée en fonction de ses efforts. Elle n’est pas cantonnée aux samedis et dimanches, et peut faire pour une dizaine d’heures par semaine bien davantage qu’un maigre 400€ par mois. C’est entre autres une bonne alternative pour les étudiants, souvent cantonnés dans des jobs sous payés et dont les horaires sont peu accomodants (et nuisent à leur réussite académique).
Personnellement, je connais quelques personnes qui sont dans ces différentes compagnies. Elles n’obtiennent pas les mêmes résultats et n’y mettent pas les mêmes efforts non plus. Mais je peux vous dire que certaines d’entre elles gagnent suffisamment bien leur vie avec ce side-line pour régler une hypothèque en aussi peu que 5 ans.
Alors je pense que je vais revenir à ce qui m’avait permis de finir mes études libre de dettes lorsque j’étais étudiante… et l’ajouter à ma petite liste de side-lines!
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