Esprit entrepreneurial et management: deux choses complémentaires

L’esprit entrepreneurial est une mode de penser et d’agir. Cette manière de réfléchir permet de trouver des formules innovantes, de développer ses idées et de prendre des risques raisonnables. Le management consiste quant à lui à assurer la gestion d’un projet ou d’une entreprise de façon efficace et pérenne. Mais les deux se complètent. Explications.

L’esprit entrepreneurial

Il est possible de développer son esprit entrepreneurial quel que soit son statut professionnel. Pour ce faire, il faut identifier un projet qui :

  • vous passionne
  • stimule votre aptitude à  rechercher le perfectionnement
  • vous rend optimiste en raison des opportunités de développement
  • vous pousse à essayer de comprendre et d’analyser les risques de son exécution

Pour avoir un véritable esprit entrepreneurial vous devez identifier vos motivations : qu’est-ce qui vous incite à entreprendre ? Ensuite, il faut être prêt à démarrer votre projet malgré la peur de l’échec. Sur ce point, pour réduire les risques, vous devez avoir une ambition réalisable. C’est-à-dire que vos besoins, vos ressources et votre situation personnelle devraient vous permettre d’atteindre vos objectifs. Après cela vient le choix d’un modèle de business. A ce stade, vous vous décidez entre vendre un produit ou un service, et travailler en solo ou en équipe.

Le management et l’esprit managérial

Le management est lié à la gestion d’un projet ou d’une entreprise. Avoir l’esprit managérial c’est savoir gérer le projet ou l’entreprise pour en assurer le succès et la durabilité. Une personne qui possède un esprit managérial sait comment utiliser les moyens disponibles et faire face aux contraintes pour obtenir les résultats escomptés.

A savoir que contrairement à l’esprit managérial, l’esprit entrepreneurial ne porte pas uniquement sur la création et l’administration d’entreprise. Il peut être manifesté dans d’autres domaines de la vie. Ce peut être une façon de raisonner et d’agir dans la vie professionnelle, personnelle ou même sociale. Avoir un esprit entrepreneurial, c’est être réactif, opérationnel, persévérant, confiant et à l’affût des faits et des belles occasions qui se présentent.

La complémentarité entre l’esprit entrepreneurial et le management

D’une manière générale, on a tendance à attribuer l’esprit entrepreneurial seulement aux entrepreneurs et l’esprit managérial aux managers. Mais un entrepreneur doit aussi développer son esprit managérial et l’utiliser pour assurer la prospérité de son business. Autrement, il peut bien réussir le lancement de son projet avec les bonnes idées et les meilleures dispositions mais sur le long terme, sans un bon management, le projet ne sera pas viable. En réalité, il faut avoir les deux esprits à deux moments de la vie d’une entreprise. L’esprit entrepreneurial est particulièrement utile lors du démarrage d’un projet. Tandis que l’esprit managérial est indispensable lors de l’exploitation de l’entreprise et de son développement pour qu’elle dure et soit florissante le plus longtemps possible. L’un s’inscrit dans l’inventivité et l’intuition tandis que l’autre se situe plutôt dans la stratégie et la planification. Mais l’un ne va pas sans l’autre. Et les deux sont nécessaires non seulement dans la création d’entreprise mais également dans la vie courante : éducation des enfants, réussite d’un mariage, organisation d’un événement, décoration de maison, achat et entretien de voiture, …

En termes de création et de développement d’entreprise,  nous vous invitons à regarder le site capitol-invest.be. Vous y trouverez également des conseils  et actualité

Le crédit sans enquête, un prêt facile à obtenir

Peu importe les précautions que l’on prend, on n’est jamais réellement à l’abri d’un imprévu. Qu’il s’agisse d’une panne de chauffe-eau ou d’une maladie, il arrive que vous n’ayez pas assez d’argent pour y remédier. Face à un tel besoin urgent en argent, certains établissements financiers aident les ménages en leur accordant un crédit sans enquête. Vous ne savez pas ce que c’est ? Nous en parlons dans cet article. Lire la suite

3 points importants à connaître avant d’ouvrir un compte bancaire offshore

Par définition, un compte offshore est un compte bancaire ouvert dans un pays étranger. Néanmoins, on distingue généralement le compte offshore du compte bancaire étranger classique. L’offshore est supposé proposer des services supplémentaires concernant l’anonymat et le secret bancaire. Pour être certain que le compte offshore est la solution qui vous convient, voici 3 informations à savoir à ce sujet.

L’offshore c’est légal, mais restez vigilant

Pour le grand public, l’offshore est souvent associé à quelque chose d’illégal. Certains imaginent qu’il sert uniquement pour la fraude fiscale et le blanchiment d’argent.

Pourtant, ouvrir un compte bancaire offshore n’a rien d’illégal et tout le monde peut théoriquement ouvrir un compte à l’étranger.

Malgré tout, l’offshore souffre de plus en plus d’une mauvaise réputation et le secret bancaire est particulièrement menacé. Les États n’apprécient plus de voir certaines sources de revenus leur échapper et la concurrence déloyale avec les pays tirant leur avantage de l’offshore. Il est probable que d’ici quelques années, l’anonymat et le secret bancaire perdent encore du terrain.

Dans tous les cas, si vous ne voulez pas d’ennui avec le fisc, veillez à rester dans la légalité. Sachez qu’un compte étranger doit obligatoirement être claré au fisc français. Tout finit toujours par ce savoir, et les conséquences peuvent se révéler très onéreuses quand on a trompé l’État.

Combien coûte l’ouverture d’un compte offshore ?

Il est possible d’ouvrir un compte bancaire offshore pour moins de 500. Mais le prix peut également dépasser les 2000. Il varie selon les destinations, la banque et les services bancaires.

Si vous passez par un prestataire s’occupant des différentes démarches d’ouverture du compte offshore il faut bien évidemment inclure son tarif dans le coût final.

Des frais annuels de plusieurs centaines d’euros sont généralement exigés pour maintenir le compte bancaire offshore ouvert.

Comment choisir une banque offshore ?

Le choix de l’établissement bancaire offshore doit avant tout dépendre de vos conditions et de votre projet.

Si ce compte est ouvert au nom d’une société offshore, vous choisirez une banque située dans le même pays que la société.

Il est recommandé de choisir une destination stable économiquement et politiquement. Bien sûr, vous devez également prendre en compte la juridiction du pays et plus particulièrement au niveau du secret bancaire et du respect de l’anonymat.

Pour choisir l’établissement bancaire, prenez en compte sa réputation et évitez les banques à la mauvaise réputation. Plus la banque a bonne réputation et plus elle est sécurisée.

Jetez aussi un œil à la capitalisation de la banque et à sa politique d’investissement, et notamment sur sa façon de gérer les liquidités de ses clients. L’intérêt étant de choisir une banque où les problèmes de liquidité et d’insolvabilité sont peu probables.

Vérifiez également quels liens entretiennent le pays et la banque avec la France. Des accords ont-ils été signés en vue de divulguer des informations à l’État français ? La banque a-t-elle déjà trahi l’anonymat de ses clients par le passé ?

Pourquoi investir aux États-Unis ?

Ces dix dernières années, une vague d’investisseurs étrangers a pu profiter des opportunités engendrées par la récession et la sécurité du dollar US. Actuellement, les conditions afférentes à l’investissement immobilier résidentiel américain sont tout simplement bonnes. Et pour cause, le marché immobilier américain est encore décoté. D’après les statistiques, Les États-Unis sont classés 8e sur 190 pays pour la qualité de son climat d’affaires. Et le pays demeure la première puissance économique mondiale et le plus grand centre financier international. Mais il représente également le troisième pays le plus peuplé du monde.

5 bonnes raisons d’investir aux États-Unis

En tant que puissance mondiale, les États-Unis représentent un moyen d’investissement très lucratif. De plus, le pays bénéficie d’un prix d’acquisition d’immobilier historiquement bas. Par exemple à Détroit, le prix moyen d’une maison est de 75 000 dollars, dont la valeur basée sur le coût de construction est estimée à 160 000 dollars. Voici d’autres bonnes raisons d’investir aux USA :

· Une devise diversifiée

Investir aux États-Unis dans le domaine de l’immobilier permet de faire un placement sur une autre monnaie. Vu la situation économique actuelle de l’Europe, cette variété de devises parait particulièrement adéquate.

· Une fiscalité profitable

Les normes fiscales des USA sur les revenus fonciers et les plus-values immobilières sont beaucoup plus rentables qu’en France. Par exemple, l’investisseur peut amortir son bien fiscalement ou alors jouir d’une exonération forfaitaire.

· Une demande de location élevée

La quotité de foyers locataires en matière d’habitation est actuellement très élevée en Amérique. En effet, les domiciles ayant perdu leur patrimoine immobilier sont dans l’obligation de reconstruire leur « credit history ». Ce qui fait qu’ils doivent louer pendant quelques années.

· De haut rendement

Avec un pouvoir d’achat élevé, la performance d’investissement immobilier est très intéressante. Investir aux États-Unis peut générer un rendement annuel net de 7 à 12%.

· Protection des biens

Le placement immobilier aux États-Unis étant isolé du reste de son patrimoine, il est protégé de ses créanciers en cas de difficultés financières futures.

Comment se rendre aux États-Unis ?

Pour voyager aux usa, il est impératif de disposer d’un visa. En général, pour un voyage temporaire d’une durée de 90 jours maximum, un ESTA suffit. Il s’agit d’un document de voyage nécessaire pour pouvoir séjourner aux États-Unis. En vrai, c’est une demande d’autorisation de séjour aux USA. Si avant il faillait un visa pour se rendre en Amérique, aujourd’hui, il suffit de faire une demande ESTA pour les États-Unis pour obtenir une autorisation.

Par contre, pour investir aux États-Unis, il faut faire une demande de visa de type E. Celui-ci permet aux entrepreneurs d’investir plus facilement aux USA. En somme, peu importe le type de visa demandé, il faut s’adresser à l’ambassade américaine ou au consulat. Bien sûr, que ce soit pour un ESTA ou un Visa E, il faut toujours fournir les documents requis avec les pièces justificatives.

Comment économiser quand on gagne le SMIC ?

La plupart d’entre nous veulent épargner de l’argent afin de pouvoir bâtir de la richesse et planifier pour l’avenir. Nous avons des objectifs que nous voulons atteindre (comme voyager) ou des choses que nous voulons acheter (comme une maison de rêve). Cependant, cela peut sembler impossible lorsque vous vivez avec un faible revenu.

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Devis d’expert-comptable : quelques points essentiels à vérifier

Pour une entreprise, solliciter de nombreux prestataires signifie généralement obtenir un devis proposé par chacun d’entre eux. Cela permet à cette structure de trouver et de choisir le prestataire adapté à ses besoins. Le tarif d’un expert-comptable est en effet indispensable puisqu’il indique toutes les modalités de collaboration entre l’expert du chiffre et la société. À ce titre, il est naturel d’observer et d’étudier un certain nombre de points essentiels sur le devis d’expert-comptable.

Seul un expert-comptable inscrit à un tableau peut proposer un devis

Le premier réflexe à adopter est de vérifier si le devis est émané d’un expert-comptable à Saint-Gilles, et à Ixelles diplômé et consigné au tableau. Il ne faut pas attendre qu’il propose son devis et de vérifier après s’il a un statut d’un vrai expert-comptable. Il faut connaitre que les seuls experts-comptables autorisés à assurer la tenue de la comptabilité des sociétés sont ceux qui sont inscrits sur le tableau de l’ordre des experts-comptables.

Aussi encore faut-il qu’ils soient titulaires du diplôme spécialisé en comptabilité le DEC ou diplôme d’expertise comptable. Pour ne pas se tromper, il est important de se rendre sur l’annuaire de ce tableau et de rechercher le nom de l’expert ou la dénomination de son cabinet d’expertise. Si le résultat est affirmatif, une collaboration peut actuellement aboutir sans aucun risque. La durée de la mission de l’expert-comptable définit le délai de l’engagement avec la société. Sous réserve de respecter un préavis, la collaboration peut être à tout moment résiliable à chaque échéance. Elle peut être aussi longue et renouvelable.

Un expert-comptable prévoit sa rémunération dans son devis

Bien évidemment, le tarif du professionnel doit être mentionné dans le devis. Cela est également appelé dans le jargon les honoraires de l’expert-comptable à Saint-Gilles. Il s’agit d’une somme d’argent due à l’expert-comptable en contrepartie de ses tâches. Selon le contrat entre les deux parties, cette somme peut se régler par mois ou versée en une ou plusieurs fois. À l’heure actuelle, le devis d’expert-comptable présente les modalités de revalorisation des tarifs. Trois formules de calcul existent en général : la facturation au temps passé, la facturation au forfait et la facturation au forfait ajusté.

La première formule permet à l’expert-comptable d’afficher un tarif horaire pour chaque mission effectuée. Il se pourrait que ce coût augmente selon la difficulté de la tâche. Le montant total des honoraires englobe la somme de l’ensemble des tâches valorisées. Le second type de facturation est défini par le tarif fourni par l’expert-comptable selon la charge de travail estimé (difficulté rencontrée lors du traitement des opérations de fin d’année, nombre de factures à traiter, etc).

En outre, il propose ses honoraires en incluant dans son devis l’évaluation probable du temps écoulé sur le dossier. La dernière facturation marque une autre variante de calcul des honoraires d’expert-comptable. Lorsque la réalité parait loin des prévisions initiales, le forfait est devenu ajustable. Pour tenir compte de la variation du volume de travail, les tarifs déjà facturés feront à nouveau l’objet d’un ajustement.

Tout ce qu’il faut savoir sur l’acceptation et la renonciation de la succession

Dite aussi patrimoine successoral, la succession signifie la transmission de l’ensemble des droits, des biens, des actions et des dettes du de cujus aux personnes désignées comme héritiers. Grâce aux options successorales mises à disposition de ces donataires, ils ont la totale liberté d’accepter ou de renoncer à leur part d’héritage.

Les particularités des différentes options successorales

Une fois que la succession est ouverte, le légataire a la possibilité de choisir entre trois options successorales :

  • Acceptation pure et simple : en optant pour celle-ci, le légataire percevra ce qui lui revient. Cette forme d’acceptation astreint l’héritier à rembourser les crédits du de cujus qui sont dans la limite de ses droits dans le patrimoine successoral. Dans le cas où le donataire constate une lourde dette, il est autorisé à saisir le TGI (Tribunal de Grande Instance, pour être dispensé, sous certaines conditions, intégralement ou partiellement de celle-ci.
  • Acceptation à concurrence de l’actif net : en choisissant celle-ci, l’héritier recevra sa part d’héritage et n’aura pas à payer les dettes qui excèdent la valeur de l’héritage de la personne décédée   . Cette option successorale protège les biens personnels du légataire des créanciers du défunt.
  • Renonciation : en se dessaisissant de la succession, le donataire ne recevra aucun bien du défunt. Par ailleurs, il ne sera pas obligé de rembourser les crédits du de cujus.

Les délais d’exercice de l’option successorale par le donataire

À compter de la date d’ouverture de la succession, l’héritier bénéficie de quatre mois pour exercer l’option successorale. La loi accorde ce délai à celui-ci afin qu’il puisse se renseigner et réfléchir mûrement sur son choix. Durant cette période, personne n’est autorisé à le contraindre à prendre parti. Par ailleurs, si le donataire ne s’est toujours pas prononcé à l’échéance de cette durée, l’État et les cohéritiers ont le droit de l’astreindre à prendre une décision. Les héritiers de rang subséquent et les créanciers du de cujus peuvent également l’obliger à se prononcer. Si tel est le cas, la loi octroie au légataire deux mois pour faire son choix. Si ce délai ne lui suffit pas, il peut demander plus de temps au juge. Il est à souligner que le donataire dispose d’une durée de 10 ans au maximum pour prendre parti si personne ne le contraint à se prononcer.

Le caractère définitif du choix de la personne désignée comme héritier

Un héritier qui a renoncé au patrimoine successoral a le droit de revenir sur sa décision et accepter purement et simplement sa part d’héritage. Toutefois, il ne pourra point approuver la succession si les autres bénéficiaires ont déjà dit oui à celle-ci. En outre, lorsqu’un légataire accepte purement et simplement la succession, il n’est plus autorisé à prendre l’acceptation à concurrence de l’actif net. Son choix est irrévocable. De même, il n’a plus le droit de se dessaisir du patrimoine successoral. En revanche, un donataire qui a choisi l’acceptation à concurrence de l’actif net a la possibilité d’accepter purement et simplement la succession s’il constate que la valeur des biens légués est nettement supérieure aux dettes. Par ailleurs, ce légataire ne pourra plus se dessaisir de son héritage.